NOUS SOMMES EN 2035, LA SMART PART ET LES NOUVEAUX TALENTS CRÉENT LE VÉHICULE ÉTERNEL
Prenez part aux échanges pour découvrir la feuille de route qui a permis la création de filières souveraines d’économie circulaire. Evoquez l’émergence d'un marché des matières secondaires, grâce à l'adoption de mesures de simplification réglementaire qui conservaient l’exigence de la durabilité. Interrogez les membres de l’écosystème sur l’approche cross-sectorielle qui a impliqué tous les acteurs de la filière automobile et a été soutenue par les pouvoirs publics à tous les niveaux, pour aboutir à la création de nombreux emplois qualifiés, et à la reconversion de bassins industriels emblématiques.
En 2024, la fabrication des véhicules électriques n’était pas le seul enjeu de souveraineté pour l’Europe : il s’agissait de développer l’ensemble de l’économie circulaire afférente*. Il fallait créer de nouvelles filières, éco-concevoir et penser la traçabilité, la réparabilité et la recyclabilité de chaque pièce détachée. Face à la crainte de nombreuses destructions d’emplois et de difficultés à pourvoir les nouveaux métiers liés à l’électrification ou au software, il fallait aussi transformer radicalement nos compétences.
En 2035, le véhicule recyclable permet de penser la voiture non plus comme une masse finie et périssable, mais sous l’angle de ses pièces détachées, comme un objet évolutif, « upgradable » et recyclable à l’infini. Une « déconstruction » de la manière de fabriquer une voiture qui est source de réindustrialisation locale et d’excellence économique.
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